petit poeme ...

Invité

qui m'a été envoyé par Chris ... pour la Belgique
peut etre egalement s'adapter à la France

J’ai un petit boulot peinard,
Je dors bien, je me lève tard,
Pas de rendement pas d’horaire,
Pas de patron, pas d’actionnaires,
Je prêche à tors et à travers
Des couplets plus ou moins pervers,
Sans risque de me faire saquer,
Je suis l’Imam de la mosquée !
Pas besoin d’aller au turbin,
J’ai une douzaine de bambins
Et tous les mois grâce aux fistons
J’encaisse les allocations
J’suis un seigneur, j’suis un Imam,
J’ai le droit d’être polygamme,
Et tous les soirs à la casbah
Je hisse les voiles sur le grand mat.
On me laisse faire mon p’tit biz’ness
Un’ femme et deux ou trois maîtresses
Ici c’est cool, c’est le bonheur,
J’ai le beurre et l’argent du beur !
J’suis un barbu, j’suis un notable,
Un protégé, un intouchable,
Et j’appelle mon avocat,
Dès qu’on pince mes femmes en burqa.
Pendant que les Belges turbinent
Pour nourrir toutes mes concubines,
Moi je m’ promène en djellaba
La Belgique c’est beau comm’ là-bas

Age : 92 Date d'inscription : 21/07/2008

Age : 73 Date d'inscription : 19/07/2008

Pas loin de la vérité en tout les cas !

:Mm42:

Age : 77 Date d'inscription : 21/07/2008

Dans la série "cultivez votre cellule grise" voici un petit chef d'oeuvre de poésie contrepétée:

le titre "La femme déçue" (déjà un contre truc!)

1èr couplet :
L’hommage de leurs vers qu’à l’envi les poètes
À la femme déçue offrent toujours ardent
Flatte certes le but, mais n’apaise la quête :
L’attente a des plaisirs qu’on ne fait qu’un moment.

Traduction proposée :
L’hommage de leurs vits qu’à l’envers les poètes
À la dame fessue offrent toujours ardent
Flatte certes le cul, mais n’apaise la bête :
La fente a des plaisirs qu’on ne tait qu’un moment.

Age : 77 Date d'inscription : 21/07/2008

2 ème couplet :

Thyrsis !.. ai pas été présenté.. mais est-ce que tout le monde connait ???

Aussi, jouet des vents qui l’hiver me rudoient,
Sur des talus où vont se fanant mes appas,
En un dense réduit où je n’ai point de joie,
Veux-je conter ce don que Thyrsis bafoua.

Aussi, jouet des vits qui l’envers me rudoient
Sur des phallus où vont se tannant mes appas,
Dans un séant réjouit où je n’ai point de doigt,
Veux-je dompter ce con que Thyrsis bafoua.

Age : 77 Date d'inscription : 21/07/2008

3éme couplet :

Las ! Le pâle Thyrsis avait la mine austère :
Le sentant sur le banc près d’elle un peu tarder
L’amante bien des fois lui fit en vain la guerre
Ferme et froid cependant, jamais il ne doutait.

Las ! Le mâle Thyrsis avait la pine austère :
Le sentant sur le tard près d’elle un peu bander
La fente bien des fois lui mit en vain la guerre
Ferme et droit cependant, jamais il ne foutait.

Admin Age : 77 Date d'inscription : 27/06/2008

Benette va encore rien y comprendre ! petit poeme ... 363774

Age : 71 Date d'inscription : 30/06/2008

mais que c'est beau!...mais là, point de pleurs! ( ça serait pas une sorte de contrepèterie, ça? Méditatif

)

Age : 77 Date d'inscription : 21/07/2008

4 èmé & 5 ème :

Pour voir se dénouer ce vœu, que de tendresse !
Que, docile à sa voix et promise à son lit,
J’eusse aimé dans ses bras m’adonner à l’ivresse !
Mais, le vin que j’offrais jamais ne le conquit.

Ses doigts pouvaient jouer aux fous entre mes tresses,
D’un vent hardi parfois copiant les effets :
Il fallait à mon but, d’autres riens, des caresses
Moins lourdes dont mon goût se fût mieux satisfait

Pour se voir dévouer ce nœud, que de tendresse !
Que, docile à sa loi et promise à son vit,
J’eusse aimé dans ses draps m’abonner à l’ivresse !
Mais le con que j’offrais jamais ne le vainquit.

Ses doigts pouvaient jouer aux trous entre mes fesses
D’un vit ardent parfois copiant les effets :
Il fallait à mon rut, d’autres biens, des caresses
Moins gourdes dont mon loup se fût mieux satisfait.

.. à suivre ...

Age : 77 Date d'inscription : 21/07/2008

6 ème & 7 ème :

Aux livres confiée une peine farouche
Cède à des plaisirs doux qui lui prêtent un fard,
Mais l’ouvrage choisi quand j’abordai ma couche
Me fit perdre la tête et je luttai sans art.

Certain jour, face aux bois, je me crus bien lésée :
Le vent sifflait, la chasse au loup battait son plein,
La bête bien tapie était près de l’orée :
Ah ! Que le son du cor semblait clair et prochain !

Aux lèvres confiée une pine farouche
Cède à des plaisirs fous qui lui prêtent un dard,
Mais l’ouvrage choisi quand j’accordais ma bouche
Me fit perdre la lutte et je tétais sans art.

Certain jour, face aux lois, je me crus bien baisée :
Le vit s’enflait, la chasse au loup battait son plein,
La bite bien topée était prêt de la raie :
Ah ! Que le sort du con semblait clair et prochain !

Admin Age : 77 Date d'inscription : 27/06/2008

Age : 73 Date d'inscription : 19/07/2008

Ces garçons ont appris a calculer en cent leçons

Salut Fred

La philantropie de l'ouvrier charpentier

Age : 77 Date d'inscription : 21/07/2008

8 ème & 9 ème :

Voyant un nid offert sur la mousse allongée,
Je sentis tout en moi la peine qui fondait,
Quand presque quitte au but il m’a soudain laissée :
Il jouit de mon trouble et ne fit que passer.

« Achève, dis-je, et mets céans la vierge en terre !
Les couleurs de mon don te laissant sans émoi,
Accorde au moins ce but, cruel, à ma prière :
De ce fer qui fait mon envie, ah ! Perce-moi ! »

Noyant un vit offert sur la mousse allongée,
Je sentais tout en moi la pine qui fondait,
Quand presque bite au cul il m’a soudain laissée :
Il joua de mon trouble et ne fit que passer.

« Achève, dis-je, et mets céans la verge entière !
Les douleurs de mon con te laissant sans émoi,
Aborde au moins ce cul, cruel, à ma prière :
De ce vit qui fait mon enfer, ah ! Perce-moi ! »

Age : 73 Date d'inscription : 19/07/2008

La pièce du fond.

Aucun homme n'est jamais assez fort pour ce calcul.

Age : 77 Date d'inscription : 21/07/2008

10 ème :

Il flétrit mes ave d’une parole amère :
Je priais pour gagner le plus mâle des sots !
D’un don coûteux je sus la cruelle misère :
Aux mythes pour le bien je renonçai tantôt.

Il flétrit mes appâts d’une vérole amère :
Je priais pour gagner le plus sale des maux !
D’un con douteux je sus la cruelle misère ;
Aux bites pour le mien je renonçai tantôt.

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