photos alakon

Œil de Moscou comme surnom, c'est toujours mieux que la Molaire !

en effet ...

Doudou2 a écrit:

c'était mon surnom au boulot, "oeil de Moscou"

J'sais pas si j'avais un surnom...

En tout cas, personne n'a jamais osé le dire devant moi.

Tu m'étonnes tiens… C'est des coups à prendre un pain dans la gueule !

Oooh ! Ça ne m'est arrivé qu'une fois en 40 de carrière ! Et tout le monde était d'accord, alors, hein...

quand je travaillais dans l'immobilier ,  j'ai mis une fois une paire de claques bien sentie à un ex collègue de travail

Celui ci  s'etant fait viré de la boite , avait repris une activité chez un concurrent - et ayant gardé une clé de la boite à lettres de mon agence , il n'avait pas trouvé mieux que de venir y piquer les coupons réponses envoyés par des contacts éventuels qu'il s'empressait de relancer …

Du coup je l'ai appelé '' gentiment '' - lui ai fixé un rv à l'agence pour '' discuter '' 

on n'a pas discuté longtemps -  il n'avait pas franchi la porte qu'il se prenait un aller retour dans le museau devant tous mes collègues (qui n'en sont pas revenus non plus )

il est resté tout con et s'en est allé la queue entre les jambes ..  

Après cet épisode cinglant , mon image de marque dans la societé s'en est trouvée renforcée   




ce mec s'appelait Alain LACAQUE  -  avec un nom pareil ca pouvait etre qu'un merdeux 


on n'en n'a jamais plus entendu parler

Sachant qu'une caque est aussi un tonneau où on entassait les harengs (d'où l'expression "la caque sent toujours le hareng")...

miolo a écrit:

Oooh ! Ça ne m'est arrivé qu'une fois en 40 de carrière ! Et tout le monde était d'accord, alors, hein…

Vas y raconte !

Déjà fait, je crois, il y a longtemps. La collègue est venue m'emmerder jusque dans mon bureau. Elle n'avait pas arrêté de la journée. Je lui ai dit d'arrêter et de sortir. Elle a continué.

Sur mon bureau, une paire de ciseaux. J'ai senti la bouffée de colère monter, j'ai eu envie de... et l'espace d'une seconde j'ai pensé aux conséquences, alors je lui ai mis un coup de poing dans la figure. Elle a saigné du nez. Est sortie en pleurant.

Mes autres collègues l'ont vue, mais quand la "blessée" est allée se plaindre au chef de service, et qu'elles ont été convoquées, elles ont toutes dit qu'elles n'avaient rien vu. Pourtant, ce n'était pas toutes mes copines... Mais cette nana, hystérique, mauvaise faisait chier tout le monde.

Quand le chef de service m'a convoquée, il m'a demandé si j'avais fait ce dont AG m'accusait. Je l'ai regardé dans les yeux et je lui ai répondu : "monsieur, est-ce que vous me croyez capable d'avoir fait ça ?". Il avait été mon prof de neuro quand j'étais élève, et me connaissait depuis plus de 30 ans. Il savait, et il savait que je savais qu'il savait. Mais je n'aurais jamais avoué. JA-MAIS !

Appelées à la direction du personnel, mes collègues ont toutes réaffirmé qu'elles n'avaient rien vu, et moi rien fait. Et comme cette nana avait créé des problèmes partout où elle était passé, ben, y a eu un non-lieu.

Si j'avais su, je lui aurais mis deux bourre-pif ! Mais je n'aurais plus eu l'excuse de la colère, et ma conscience m'aurait titillée. Alors que là, rien. Plutôt contente, même !

Je ne suis pas un adepte de la violence, mais parfois faut ce qu'il faut. 

J'ai le souvenir d'une bonne femme qui faisait chier tout un quartier et qui insultait tout le monde. Nous avions déjà recueilli bon nombre de doléances mais impossible de se saisir car en matière d'insultes et d'injures le parquet n'engageait pas de poursuite renvoyant les parties aux intérêts civils.
Jusqu'à ce qu'une nuit sans lune et particulièrement sombre de février notre mégère est tombée dans une embuscade où quatre gros bras masqués lui ont peint le cul à l'antirouille. 
Elle a bien entendu déposé plainte et une enquête de première classe a été diligentée sans que les auteur aient pu être identifiés. 

Depuis lors, la tranquillité est revenue dans le quartier… Comme quoi !

  le cul à l'antirouille 


aller les sorcières , on prend note … on prend note 

Le parquet était au courant du comportement de cette mégère et la notification des suites de l'enquêtes du procureur valait aussi le coup. En gros ça disait :

Transmis à l'officier de police judiciaire territorialement compétant :

"En vous priant de bien vouloir notifier à la victime que je classe l'affaire sans suite pour cause (suivi d'un code qui correspondait à auteurs non identifiés) et ce malgré une enquête extrêmement minutieuse et fouillée de la part des enquêteurs" 

"minutieuse et fouillée" !!!!!!