cache ta joie Nizou ?????

ouh la

ça caille vraiment , ou t'as cassé ton pare brise ...?

Bô...

Y a pas le Ricard qui va avec ?

Sur certains sites, on verrait ça comme un symbole franc-maçon...

vous m'en mettrez deux tranches s'il vous plait - merci
oups pas venue ici ce matin - cuisine pour petit fils qui vient faire concert de guitare à Chambéry ce soir
rien que du grand soleil qui pète - pouuuuurvouuuuu ké sa dourrre !
Allez j'y retourne, au soleil avec un bouquin - pause

les vieilles cocottes qui vont à la messe de Noel

Et c'est Miolo qui ouvre le cortège.

Voui Môssieur ! Parfaitement ! Je m'enorgueillis de veiller modestement à votre spiritualité.

Ce n'est pas parce qu'on est diabétique qu'il ne faut pas savoir faire des gâteaux.

Quoi ! Qui c'est qui ne comprend pas, encore ?

Rhaaaaaa !

J'accompagne volontiers Miolo dans la tâche ardue qu'elle s'est infligée. Le salut de votre âme est une quête pieuse de la plus haute importance. Mais comme tout chemin de croix il est parsemé d'embûches et d'embuscades. Dans mon infinie bonté, je me propose donc de jouer le rôle de démon tentateur qui ne manquera pas de vous faire trébucher. Vous vous relèverez grandis et repentants. J'espère que vous mesurez la beauté de mon sacrifice !

Allez, ne vous bilez pas trop, les amis ! Pour ceux qui n'ont pas envie de lutter, je propose le quiétisme, doctrine qui me semble très adaptée à l'esprit dobrisien

Quiétisme ou Molinisme
Miguel de Molinos lors de son abjuration à l'église de la Minerve (Rome), en 1687

Le quiétisme est un courant spirituel rattaché à des traditions plus anciennes dans le christianisme telle que l'hésychasme des XIIIe siècle et XIVe siècle, ou la devotio moderna des XIVe siècle et XVe siècle1,2.

Le quiétisme prend naissance en Italie vers la fin du XVIIe siècle. Il fut prêché par un prêtre et théologien espagnol, Miguel de Molinos (1628-1696), qui expose cette doctrine dans son Guide philosophique (1675). Dans son ouvrage, le père Molinos explique que « lorsque l'âme parvient à s'unir étroitement à Dieu, elle se trouve dans un état de repos parfait (quies en latin se traduit par « repos »), et n'a plus alors ni acte à produire, ni effort à faire, ni même résistance à opposer à la tentation : l'âme ne pêche plus, même si elle semble aller à l'encontre de la loi de Dieu »1.

La conséquence de ces thèses serait une mésestime de la structure hiérarchique de l'Église catholique (la contemplation se faisant en dehors de tout cadre d'Église), le refus de tout désir pour soi et de tout acte (prière, remerciement, résistance à la tentation) et l'abandon au péché : le péché sans consentement ne troublant pas la parfaite union avec Dieu3,4.

Cette doctrine « accusée de mépriser l'autorité ecclésiastique et de prôner une morale relâchée » est condamnée par le pape Innocent XI dans la bulle Coelestis Pastor (le pasteur des cieux) en 16871. Molinos, obligé d'abjurer publiquement, finit sa vie en résidence surveillée dans un couvent.

C'est bien le miolonisme