Je ne suis pas un vieux crouton.

C'est dans cette pièce
Quelque peu austère
Qu'on montre ses fesses
pour lâcher l'affaire
Un peu de contraction
est parfois nécessaire
Pour la grosse commission
Que l'on a à faire
Une fois la chose larguée
Dans la vasque remplie d'eau
Il faut se préoccuper
D'atteindre le rouleau
Avant de quitter la place
Et recommencer ma prose
Tirez donc la chasse
Car ça sent pas la rose !

C'est vrai quoi !

Il ya "cul " dans culture !

Le banc en bois avec le trou au milieu j'ai connu ça dans la cabane au fond du jardin, j'avais très peur de tomber dedans et en plus y avait des araignées, j'ai vraiment eu une enfance difficile !

j'adore


Je vais recopier , imprimer joliment et afficher dans mes cabinets...(avec toutes mes affiches de concerts )

C'est ici que repose
Une certaine dose
D'une certaine chose
Qui ne sent pas la rose.
Celui qui se propose
De faire ici sa prose
Doit avant toute chose
Tenir porte close

Merde alors ! Vous faites chier, quoi !

T'en chies hein !

Ma pudeur, ma délicatesse et le raffinement de mon esprit souffrent de votre trivialité !

Qu'à cela ne tienne Miolo !

voici pour te combler :

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Alors qu'avec délicatesse
Elle se torchait les fesses

Un galant ouvrit la porte preste
En fit illico sa maîtresse

Elle jura mais un peu tard
Qu'on ne l'y prendrait plus dans ce placard.


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Vive La Fontaine aux grands crus !  
Amateurs de poésie Bonsoir !!

Seigneur ! " et ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal ! "

Amen ! C'est Nanette qui doit s'agiter, là-haut !

un peu de riesling pour Nanette, allez !

Avant de quitter l’oubliette
Jetez vos yeux sur la cuvette
N’imitez pas ceux qui s’en vont
Laissant leurs souvenirs au fond
Prenez plutôt la balayette
Versez de l’eau avec douceur
Frottez ensuite avec ardeur
Et partez quand la place est nette.

Je reconnais bien là le côté hygiéniste d'un hussard de la Raie Publique !

Vous avez toutes lu Émile Zola. Ce grand écrivain a touché à tout ce qui porte-bonheur. Il a le fumier épique. C'est sans nul doute l'Homère de la vidange. Dans le texte suivant'' La scatologie'' il décrit sinon avec sonorité ces bruits intempestifs post-digestifs qui vont du soupir à la deflagration.

Permettez-moi de vous faire partager un morceaux de Zola que je trouve absolument désopilant :

La Trouille servait le veau aux oignons. Il y eut un silence, et Jésus-Christ, pour ne pas laisser tomber la conversation, en lança un prolongé, qui traversa la paille de sa chaise avec la modulation chantante d'un cri humain. Tout de suite, il s'était tourné vers sa fille, sérieux et interrogateur :
— Qu'est-ce que tu dis ?
Elle ne disait rien, elle dut s'asseoir, en se tenant le ventre. Mais ce qui l'acheva, ce fut, après le veau et le fromage, l'expansion dernière du père et du fils, qui s'étaient mis à fumer et à vider le litre d'eau-de-vie, posé sur la table. Ils ne parlaient plus, la bouche empâtée, très soûls.
Lentement, Jésus-Christ leva une fesse, tonna, puis regarda la porte en criant :
— Entrez !
Alors, Fouan, provoqué, fâché à la longue de ne pas en être, retrouva sa jeunesse, la fesse haute, tonnant à son tour, répondant :
— Me v'la !
Tous les deux se tapèrent dans les mains, nez à nez, bavant et rigolant. Elle était bonne. Et c'en fut de trop pour la Trouille, qui avait glissé par terre, agitée d'un rire frénétique, au point que, dans les secousses, elle aussi en laissa échapper un, mais léger, fin et musical, comme un son de fifre, à côté des notes d'orgue des deux hommes.
Indigné, répugné, Jésus-Christ s'était levé, le bras tendu dans un geste d'autorité tragique.
— Hors d'ici, cochonne !... Hors d'ici, puanteur !... Nom de Dieu ! je vas t'apprendre à respecter ton père et ton grand-père !
Jamais il ne lui avait toléré cette familiarité. Fallait avoir l'âge. Et il chassait l'air de la main, en affectant d'être asphyxié par ce petit souffle de flûte : les siens, disait-il, ne sentaient que la poudre.

Du calme Miolo. Y a pas de mal à rouler par terre.

Vos réflexions sont coulées dans le bronze...

En parlant de bronze, c'est quand même le fondeur le seul capable d'en couler un en gardant sa salopette !